Le remède est que nous nous rappelions, Ô frère musulman, de notre identité profonde dans ce monde, et de notre fonction, celle pour laquelle nous avons été créés ; puis que nous continuions à nous le rappeler à chaque fois que la torpeur ou l’insouciance nous gagne.
Et quelle est notre identité véritable ? […] Nous sommes des serviteurs, des esclaves appartenant à Dieu Très-Haut ; dans Sa main est notre devenir et vers Lui notre revenir ; Il dispose de nos vies présentes et de nos vies à venir.
C’est une identité marquée au fer rouge par la parole divine :
« Dis-leur : Ma prière, mes rites, ma vie, ma mort, il n’est rien qui n’appartienne à Dieu, le Seigneur des mondes ».
Et les croyants et les incroyants sont égaux sous le rapport de cette vérité inhérente à leur identité.